Séjour où des corps vont cherchant chacun son cadeau. Assez charmant pour permettre de revivre en vain. Assez restreint pour que toute ouverture soit vaine. C'est l'intérieur d'un apaisement éclatant ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la réalisation. Joie de vivre. Son aube. Son résultat. Sa route comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la volonté totale émettaient chacun sa bienveillance. L'apogée qui l'agite. Il se délasse de loin en loin tel un sourire sur sa fin. Tous se clarifient alors. Leur soleil va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout avance.
Bidouille (Nordmann)
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